A la Conférence des avant-gardistes dans le domaine de l’élevage

A la Conférence des avant-gardistes dans le domaine de l’élevage

Staline

14 février 1936

   Paru dans la Pravda, 15 février 1936.

   L’amour pour leur kolkhoze, pour leur pays, pour leur Parti et pour le camarade Staline, voilà ce qui a appris à des milliers, des dizaines de milliers, des millions de paysans à créer d’une façon absolument nouvelle, et à ressentir la joie du travail aussi d’une façon absolument nouvelle.

   Ecoutez de quelle poésie profonde sont empreints pratiquement tous les mots de ces gens, quand ils se mettent à parler des veaux, des agneaux et des vaches du kolkhoze. Seules les mères font ainsi, quand elles parlent de leurs enfants.

   Les orateurs se succédaient. Prenaient la parole des géorgiens, des bachkirs, des ouzbeks, des ukrainiens, des kalmouks, des russes…

   Staline…

   On prononce ce nom des dizaines et des centaines de fois. Et à chaque fois, la salle du Kremlin l’accueille, d’une seule voix, par un tonnerre d’applaudissements, par des « hourra », par une tempête d’ovations. Les orateurs ne se dépêchent pas de descendre de la tribune, mais lentement, avec tout le sérieux qui sied à des gens se sentant les maîtres du pays, ils montent vers le bureau de la présidence, serrent longuement la main de Staline et après être allés vers tous les membres de la présidence et leur avoir adressé à tous un salut personnel et chaleureux de la part de milliers de bergers et de trayeuses, ils reviennent de nouveau vers le camarade Staline et lui serrent de nouveau fortement la main.

   – Merci, camarade Staline pour la vie radieuse, pour les statuts staliniens !

   Dans son intervention à la Conférence des kolkhoziens et des kolkhoziennes d’avant-garde du Tadjikistan et du Turkménistan Staline a dit :

   « Il y a une chose, camarade, qui est plus précieuse que le coton, c’est l’amitié des peuples de notre pays. La présente. Conférence, vos interventions, vos actes nous disent que l’amitié entre les peuples de notre grand pays se renforce. Ceci est très important et significatif, camarades. »

   On ne peut s’empêcher de répéter ces mots formidables du camarade Staline. Bien que les victoires des kolkhoziens d’avant-garde dans le domaine de l’élevage soient grandioses, bien que les riches expériences leur soient si précieuses et qu’ils les partagent du haut de la tribune de la salle du Kremlin, et bien qu’Afass Iouldachev, n’ayant jamais eu 5 roubles en poche, ait gagné en cette seule année 5 000 roubles nous remplisse de joie, le plus important et le plus précieux c’est l’amitié réciproque de tous les peuples de notre pays et leur amour sans borne pour leur ordre kolkhozien, pour leur grande patrie, pour leur Parti et pour le dirigeant bien aimé de tous les peuples, le camarade Staline.

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