Défendre la santé et la vie du Président Gonzalo
Parti Communiste du Pérou
Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !
« C’est seulement dans un ordre de choses où les classes et l’antagonisme de classes n’existeront plus, que les évolutions sociales cesseront d’être des révolutions politiques.
Jusqu’à ce que ce moment arrive, à la veille de toute réorganisation générale de la société, la dernière parole de la science sociale sera toujours : lutter ou mourir ; la lutte sanglante ou le néant, voilà l’inexorable dilemme » C. MARX.
« Celui qui tombe en combattant à droit à la résurrection » LÉNINE.
« Lutter, échouer, relutter, échouer à nouveau, relutter une autre fois et ainsi jusqu’à la victoire, voilà la logique du peuple, et lui non plus ne se retournera jamais contre elle. Ceci est l’autre loi marxiste ». PRÉSIDENT MAO TSETUNG.
« Nous sommes les initiateurs. Cette Première École Militaire du Parti, disions-nous, est clôture et ouverture, elle clôt et elle ouvre.
Elle clôt les temps de paix, elle ouvre les temps de guerre. Camarades : notre tâche aux mains désarmées est révolue, aujourd’hui commence notre parole armée : dresser les masses, dresser les paysans sous les drapeaux invincibles du marxisme-léninisme-pensée mao tsetung. Une période s’est achevée ; les préparatifs de la nouvelle période sont faits. Nous scellons ici ce qui a été fait ; nous ouvrons le futur, les actions sont le point-clé. Le Pouvoir est l’objectif.
Nous le ferons, l’histoire le demande, la Classe l’exige, le peuple l’a envisagé et le veut. Nous devons l’assumer et nous l’assumerons ; nous sommes les initiateurs . Camarades, l’effort déployé se félicite, se réjouit de l’oeuvre réalisée, se satisfait de cette réalisation, ne cherche pas de récompense ». 19 avril 1980. De la I École Militaire.
« Nous, communistes, en tant que tels, n’avons peur de rien.
De plus, le Parti nous a forgé dans le défi à la mort et appris à porter la vie du bout des doigts pour la donner au moment où la révolution le demande. Nous pensons surtout que cet entretien a de l’importance, de la transcendance : il sert notre classe et sert aussi, pourquoi ne pas le dire, le prolétariat international et les peuples du monde, la révolution mondiale.
Ainsi les risques, quels qu’ils soient, ne sont rien, surtout si -j’insiste- nous sommes formés à l’image du parti ».
« Peur ? Je crois que c’est une contradiction, avoir peur et ne pas avoir peur, le problème est de saisir l’idéologie et de fortifier en nous le courage.
C’est l’idéologie qui nous rend courageux, qui nous permet de n’avoir pas froid aux yeux.
A mon avis, personne ne naît courageux ; c’est la société, la lutte de classes, le prolétariat, le Parti et l’idéologie qui nourrissent le courage des communistes.
Quelle pourrait être la plus grande crainte ? Mourir ?
Je crois, comme matérialiste, que la vie s’achève un jour, et ce qui prédomine en moi, c’est l’optimisme et la conviction que la tâche que j’accomplis, d’autres la continueront jusqu’à l’accomplissement de notre tâche définitive : le communisme ; car la crainte que je pourrais avoir, serait que notre tâche ne soit pas continuée, mais cette crainte s’estompe quand on a confiance dans les masses.
La pire crainte, en fin de compte, c’est de n’avoir pas confiance dans les masses, de se croire indispensable, le nombril du monde, je crois que c’est cela ; et si on est formé par le Parti, avec l’idéologie du prolétariat, le maoïsme principalement, alors on comprend que ce sont les masses qui font l’histoire, que c’est le parti qui fait la révolution, que la marche de l’histoire est définie, que la révolution est la tendance principale. Alors, la peur s’estompe et il ne reste que la satisfaction d’être une pierre parmi les autres pierres, qui servira à instaurer les bases pour qu’un jour le communisme brille et illumine toute la Terre ».
« Nous pensons toujours que nous avons la vie au but des doigts, autrement nous ne pourrions être des communistes.
En conséquence, ils ont leurs raisons ; les miennes sont celles que le Parti établit.
C’est vis-à-vis d’elles que j’espère être toujours plus fidèle et plus utile, puisque nous pouvons perdre la vie au détour de n’importe quel chemin, de plus elle a un début et une fin, un temps de plus, un temps de moins ». PRÉSIDENT GONZALO (Tiré de l’Entrevue du Siècle, El Diario 1988).
« Les communistes se forgent au milieu des tempêtes et des difficultés, jamais dans le calme plat.
On dit que celui qui gagne est celui qui résiste une minute de plus et nous pouvons en supporter davantage car nous avons une idéologie vraie : le marxisme-léninisme-maoïsme, pensée Gonzalo qui arme de la vérité incontournable nos âmes et nos bras ».
« Nous le communistes, nous sommes et nous serons toujours l’élément le plus avancé de la classe, l’avant-garde du prolétariat et de ce fait, nous avons la responsabilité de réaliser nos buts et nos objectifs, prêts à donner tout ce que la révolution exige, sacrifiant nos vies pour le communisme, guidés par le marxisme-léninisme-maoïsme, pensée Gonzalo ; c’est cette idéologie qui nous permet de maîtriser toute situation et aussi d’en tirer le maximum de profit pour transformer une mauvaise condition en une bonne condition ».
« Une fois de plus nous avons prouvé que le Parti est uni et que les dangers, nous les affrontons avec fermeté et résolution, sûrs de les vaincre pour réaliser nos tâches et aller toujours de l’avant.
N’importe lequel d’entre nous peut disparaître, le Parti continuera, nos vies immolées animeront ceux qui restent et le dernier sera poursuivi jusqu’à ce que le communisme s’impose sur la terre.
Voilà notre conviction ».
« Nous sommes suffisamment forgés.
Le risque ne nous fait pas reculer, les dangers ne nous arrêtent pas, ce moment n’est qu’une épreuve de plus, qu’elle soit la bienvenue !
Il fait partie du processus révolutionnaire ».
« Nos difficultés peuvent être vaincues parce que nous sommes une force nouvelle et nous avons un brillant avenir ».
« Cette guerre populaire est l’émancipation du prolétariat, du peuple, des classes opprimées, fait sans précédent dans ce pays.
Ce n’est pas une seconde émancipation, c’est la véritable et unique émancipation et c’est pour cela que le combat se poursuit avec plus d’acharnement.
L’ignoble persécution contre les prisonniers du guerre fait partie de ce combat et ceux qui aujourd’hui se battent sont les héros de demain, ceux qui font le futur, ceux qui ouvrent une brèche dans l’histoire.
Nous, nous ne pensons pas que ce sont les héros qui font l’histoire, ceci est du révisionnisme.
L’histoire est faite par les masses et les héros sont en fait l’expression de ces masses.
Ils font partie des masses elles-mêmes, et conscients de cela ils sont capables de donner leur vie et de se sacrifier pour la lutte qui les conduira à leur émancipation définitive.
Rappelons-nous sans cesse le glorieux parcours de onze ans de guerre populaire. La guerre populaire ne peut pas être interrompue.
Considérons même que la direction pourrait être liquidée, en partie, pas complètement, mais les dirigeants qui resteront, doivent et peuvent poursuivre les plans, la lutte, la guerre populaire ; nous sommes forgés dans l’idée qu’on ne peut pas arrêter la révolution, qu’on ne la paralysera pas ; le Président Mao a enseigné : « Relevons nos morts, soignons les blessés et nous continuons le combatte ».
« Le Parti ne peut jamais être paralysé parce qu’il est sûr de la direction à suivre, parce que l’unité est faite autour de la sage direction du Président Gonzalo, sur la Base d’Unité du Parti, sur la guerre populaire, sur le plan de développement stratégique »…PRÉSIDENT GONZALO.
Nous redisons notre engagement en notre Direction, dans le centre d’unification de notre Parti : le Président Gonzalo, en notre idéologie : le marxisme-léninisme-maoïsme, pensée gonzalo, nos principes et les objectifs fixés.
La détention du Président Gonzalo fait partie de la politique génocide du vieil Etat péruvien et est liée à l’accomplissement de ses trois tâches contre-révolutionnaires : redonner une impulsion au capitalisme bureaucratique, anéantir la Guerre Populaire et restructurer son Etat. Les réactionnaires rêvent s’ils croient que son arrestation mettra fin à la Guerre Populaire ou que cela signifie » le commencement de la fin de Sentier « .
Tel est leur désir.
Mais face à leur désir se dressent les lois de la société, celles qui régissent en marge de la volonté des hommes.
Et les lois de la Guerre Populaire au Pérou se sont déjà exprimées, elles ont déjà été ratifiées.
La pensée Gonzalo est déjà développée, et les grandes lignes de la révolution péruvienne sont déjà tracées jusqu’au communisme.
Notre victorieuse et invincible Guerre Populaire atteint l’Equilibre Stratégique, nous avons déjà traversé plus de la moitié du fleuve, nous atteindrons l’autre rive et nous conquerrons le pouvoir dans tout le pays. Nous écraserons et nous abattrons la grande bourgeoisie, les propriétaires fonciers, le capitalisme bureaucratique, la semi-féodalité et l’impérialisme.
À présent, les réactionnaires essaient de porter la responsabilité des 25’000 ou 26’000 morts que donnent les statistiques officielles sur le Président Gonzalo et le PCP. Plus de 20’000 personnes n’ont-elles pas été assassinées par les bouchers Belaunde, García, Pérez et par Fujimori, le plus féroce ? Des cyniques qui n’ont pas honte. Ce système pourri qu’ils défendent n’assassine-t-il pas plus de 60’000 enfants au berçeau avant qu’ils aient atteint l’âge d’un an et plus de 190’000 avant qu’ils aient atteint 5 ans ?
Oui, parce qu’ils meurent de faim, de misère, d’exploitation.
Le coût de cette guerre est le plus bas qu’ait atteint une guerre révolutionnaire jusqu’à aujourd’hui et ceci grâce à la stratégie du PCP.
Nous, nous avons anéanti et nous continuerons d’anéantir les forces armées policières génocides, les chefs des rondes et des milices de ferme, les mouchards et agents de l’impérialisme, les laquais, les juges et agents fiscaux civils et militaires-masqués ou non- et tous les réactionnaires qui s’opposent directement à la Guerre Populaire et qui d’une manière ou d’une autre se mettent dans les tranchées ennemies.
Tout réactionnaire génocide sera écrasé. Nous détruirons la vieille société péruvienne pourrie et nous instaurerons la RÉPUBLIQUE POPULAIRE DU PÉROU !
VIVE LE PRÉSIDENT GONZALO, CHEF DU PARTI ET DE LA RÉVOLUTION !
DÉFENDONS LA SANTÉ ET LA VIE DU PRÉSIDENT GONZALO !
VIVE LE MARXISME-LÉNINISME-MAOÏSME, PENSÉE GONZALO !
VIVE LA PENSÉE GONZALO !
VIVE LE PARTI COMMUNISTE DU PÉROU !
VIVE LA VICTORIEUSE ET INVINCIBLE GUERRE POPULAIRE !
DONNONS NOTRE VIE POUR LE PARTI ET LA RÉVOLUTION !
HONNEUR ET GLOIRE A LA CAMARADE NORAH, LA PLUS GRANDE HÉROÏNE DE NOTRE PEUPLE !
MORT AUX GÉNOCIDES !
MORT AUX JUGES ET AUX AGENTS FISCAUX CIVILS ET MILITAIRES, MASQUÉS OU NON !
MORT À L’INFÂME BOUCHER, BRADEUR DE PATRIE FUJIMORI !
COMITE CENTRAL
PARTI COMMUNISTE DU PEROU